Défis d’une transition

L’agriculture urbaine bio intensive sur petite surface cultive les paradoxes et est une gageure.

En ville et en Région Bruxelles-Capitale l’espace vert est un luxe mais l’alimentation industrielle une commodité.

Les cycles courts exigent une proximité entre producteurs et consommateurs: les personnes intéressées peuvent êtres des habitants proches ou simplement des personnes travaillant aux alentours.

L’agriculture urbaine suppose une ouverture institutionnelle (on doit nous laisser des parcelles à cultiver) et une connivence des habitants (qui doivent accepter la vue d’une serre, d’un filet anti-insectes ou, mieux, participer directement au projet).


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